Le gîte a été aménagé dans l'ancienne grange, avec une jolie vue sur les falaises calcaires. La rivière est juste là, au bout du champ, pour se rafraîchir en été ou une partie de pêche. Les plus sportfs pourront parcourir les nombreux sentiers de randonnée à pied ou à VTT sillonnant le Causse, ou s'initier à l'escalade ou la spéléologie. Pour les amoureux de patrimoine et de vieilles pierres, le choix de visites est vaste : Bruniquel et son château, forteresse de Penne, village suspendu de Puycelci, bastide de Saint-Antonin, lavoirs et moulins ...


** LE GITE **
Maison totalement indépendante, dans le petit hameau de Sabiou, à proximité de la maison secondaire des propriétaires qui viennent seulement pour entretenir les extérieurs du gîte (ils n'y dorment pas). Avec ses murs en pierre, et la proximité de la rivière, la maison est fraîche. Tranquillité assurée à Sabiou !

Possibilité d'accueillir jusqu'à 4 personnes (2 adultes et 2 enfants) grâce aux deux lits simples en 90cm superposés situés dans le séjour (séparé par un rideau).
Pièce à vivre :
- cuisine ouverte équipée d'un four, grille-pain, bouilloire, cafetière à filtre, micro-ondes et réfrigérateur avec congélateur.
- espace salon avec canapé convertible, TV et cheminée (bois à disposition)
Espace nuit (accès avec 4 marches depuis séjour) :
- chambre avec lit double en 140x190cm
- salle d'eau avec douche, vasque simple, sèche-cheveux et lave-linge
- wc indépendant
Les extérieurs : le gîte est entouré d'herbe ! La rivière est à 150 mètres juste en-dessous. Devant le gîte, une table en bois, des bains de soleil et un abri couvert si vous souhaitez manger dehors à l'abri du soleil.
Vous pouvez vous garer sur le côté du gîte.

Le réseau 4G est faible, l'idéal pour passer un séjour au vert !
Équipement bébé avec lit à barreau, chaise haute et matelas à langer.

La fraîcheur des rives de l'Aveyron contraste avec la chaleur des causses alentour

Le gîte Sabiou est une ancienne ferme, en bord de rivière Aveyron, rivière qui a creusé son lit entre le causse de la Madeleine et les premières frondaisons de la forêt de Grésigne